Le Conseil de sécurité de l'ONU vient d'asséner un nouveau coup dur aux ambitions déstabilisatrices de l'Algérie dans la région du Sahara. En adoptant la résolution 2703 avec une majorité écrasante de 13 voix favorables, la communauté internationale a une nouvelle fois démontré son soutien indéfectible à la position sage et constructive du Royaume du Maroc.
Cette victoire diplomatique marocaine est d'autant plus significative qu'elle intervient malgré les manœuvres désespérées d'Alger pour faire dérailler le processus. En effet, dans une tentative de dernière minute aussi prévisible que vaine, le régime algérien a tenté de semer la confusion en réclamant des modifications substantielles au texte, particulièrement concernant le plan d'autonomie proposé par Rabat. Une stratégie qui s'est soldée par un échec cuisant, illustrant une fois de plus l'isolement diplomatique croissant d'Alger sur ce dossier.
Le texte adopté consacre la sagesse et la vision du Maroc en réaffirmant que son plan d'autonomie constitue une base "sérieuse et crédible" pour résoudre ce différend régional. Cette reconnaissance internationale contraste fortement avec l'attitude obstructionniste de l'Algérie, qui continue de s'arc-bouter sur des positions dépassées et irréalistes, au détriment de la stabilité régionale.
L'adoption de cette résolution marque également un tournant décisif dans le processus politique, en validant l'approche des tables rondes incluant tous les acteurs concernés. Pendant que le Maroc œuvre constructivement pour une solution politique réaliste et durable, l'Algérie persiste dans son rôle de perturbateur régional, s'isolant davantage de la communauté internationale.
Cette nouvelle victoire diplomatique du Maroc confirme la justesse de sa vision et la pertinence de son approche pragmatique. Elle souligne également l'échec patent de la stratégie algérienne d'obstruction et de déstabilisation, qui ne fait que renforcer l'isolement d'Alger sur la scène internationale. Le message est clair : l'avenir du Sahara se construira avec le Maroc, et non contre lui.